Marie Moreau

👤 Rôle joué par Jaz Sinclair

📢 Voix Française : Amélia Ewu

Marie Moreau dans Gen V : une héroïne tragique et puissante

Les origines tragiques de Marie Moreau

Marie Moreau découvre ses pouvoirs de façon brutale et inattendue : le jour de ses premières règles. À ce moment-là, elle réalise qu’elle est capable de contrôler son propre sang et de l’utiliser comme une arme redoutable. Malheureusement, son manque d’expérience et la violence incontrôlée de ses capacités conduisent à un drame : elle tue accidentellement ses parents.
Témoin de cette tragédie, sa jeune sœur assiste à la scène et garde une haine profonde envers Marie, la tenant responsable de la mort de leurs parents. Ce traumatisme est l’élément déclencheur qui marquera à jamais le parcours de la jeune super-héroïne.

Elle comprend par la suite que son don va bien plus loin qu'elle ne le pense car à Victoria Neuman qui lui explique qu'elle est capable de prendre le contrôle sur le battement de cœur des gens (puisqu'elle peut gérer leur sang), mais également d'entendre le coeur d'une personne, qu'elle peut maintenir le sang d'une personne blessée à l'intérieur de son corps, ...

L’Institut Red River : un nouveau départ

Après la mort de ses parents, Marie est placée à l’Institut Red River, un orphelinat spécialisé pour jeunes Supers. C’est dans ce cadre particulier qu’elle apprend à vivre avec ses capacités et à mieux contrôler son don lié au sang, tout en portant le poids de sa culpabilité.

L’université de Godolkin : l’école des Supers

À l’approche de ses 18 ans, Marie rejoint l’Université de Godolkin, une prestigieuse école réservée aux jeunes Supers. Son objectif est clair : devenir la meilleure de sa promotion afin d’intégrer les Sept, le groupe de super-héros le plus célèbre, et ainsi regagner l’admiration de sa sœur.

Cependant, dès son arrivée à Godolkin, Marie est confrontée à des situations bien plus sombres que ce qu’elle avait imaginé. Loin d’être une simple école de super-héros, l’université cache de nombreux secrets.

En parallèle, la directrice de l'Université, Indira Shetty, prend Marie sous son aile. Cependant, elle ne se révèle pas aussi honnête qu'il n'y parait.

La découverte de "La Forêt" et les combats contre les super-vilains

Au fil de ses découvertes, Marie se retrouve malgré elle au cœur d’un complot. Elle découvre l’existence de La Forêt, un centre secret où des Supers sont torturés et utilisés comme cobayes. Avec l’aide de ses camarades, elle se lance dans une lutte pour faire tomber ce système et protéger les victimes.

Mais leur combat les amène aussi à affronter un groupe d’étudiants qui basculent du côté obscur, devenant de véritables super-vilains. Entre ses idéaux et la réalité sanglante du monde des Supers, Marie doit faire des choix cruciaux qui la rapprochent autant de l’héroïsme que du chaos.

La relation entre Marie Moreau et Jordan Li

Dans son parcours à Godolkin, Marie tisse des liens complexes avec ses camarades, notamment avec Jordan Li, un Super capable de changer de genre et de forme physique. Si leurs débuts sont marqués par la méfiance et les tensions, une relation de confiance et des sentiments amoureux naissent progressivement entre eux, ajoutant une dimension plus intime et humaine au récit.

Marie se lie également d'amitié avec sa colocataire Emma Meyer (alias Cricket), qui est capable de changer de taille.

Le Protecteur et l’arrestation finale

Alors que Marie et ses amis semblent enfin parvenir à vaincre le groupe d’étudiants terroristes et à mettre fin aux expériences de La Forêt, un événement inattendu change le cours des choses. Le Protecteur (Homelander), figure centrale de The Boys, débarque sur le campus. Loin de reconnaître leurs efforts, il arrête Marie et ses camarades, inversant complètement la perception de leur lutte. Il considère Cate Dunlap et Sam Riordan comme de bons Supers, prêt à tout pour montrer qu'ils sont supérieurs aux humains, tout comme le Protecteur lui-même.

La citation marquante de Marie Moreau

L’essence du personnage se retrouve dans l’une de ses phrases les plus marquantes, véritable reflet de son évolution intérieure :

Je voulais être une héroïne. Quelqu'un dont ma sœur pourrait être fière, mais je n'en ai plus rien à faire maintenant. Je veux juste être une bonne personne.

Cette déclaration illustre parfaitement le dilemme de Marie Moreau : passer de l’obsession de devenir une héroïne reconnue à la quête plus profonde de rester simplement humaine et digne.